Héritage

La douceur héritée d’une mère

La maman de Carole porte la grâce dans les gestes les plus simples.

Elle transmet à sa fille le goût d’une élégance discrète, celle qui se révèle sans effort et accompagne chaque instant de la vie.

Dans son regard, il y a la force douce des femmes qui tiennent une maison, une famille, un monde. Elle montre que la féminité n’est pas une apparence, mais une façon d’être : libre, digne, vivante.


Dans chaque couture, Carole entend l’écho de sa voix. Dans chaque tissu, l’empreinte de sa présence demeure, comme un fil invisible reliant le passé à l’avenir.

Le fil du père, tailleur de vie

Son père, tailleur de métier, transmet la rigueur et l’amour du beau.

Dans l’atelier, Carole observe les gestes précis, le tissu qui prend forme, le bruit régulier des ciseaux, la patience infinie d’un métier fait de détails.

Elle apprend que le vêtement n’est pas seulement une enveloppe, mais une architecture intime qui accompagne le corps et révèle la personnalité.


De lui, elle reçoit le sens de la coupe juste, la passion des matières, la conviction que le savoir-faire se transmet par le regard, par la main, par le temps.

Une famille tissée d’histoires

Carole grandit dans une famille où l’on parle le langage des étoffes.

Son père et ses oncles, tailleurs de métier, façonnent l’étoffe avec précision, tandis que sa mère incarne l’élégance au quotidien. Ces figures fondatrices lui offrent une mémoire textile vivante, un socle fait de rigueur et de tendresse, de technique et de poésie.


C’est de ce terreau familial qu’est née DIEGA : une maison qui puise dans cette histoire pour offrir des vêtements libres, sensibles et intemporels.

Chaque collection en porte la trace, comme une transmission réinventée.